chaque nouveau printemps est idem, le soleil et le sourire, la joie etc.
les amoureux etc.
les bourgeons etc.
les jolies fleurs etc.
je lève mon verre aux émerveillements perpétuels du printemps, à l'odeur de l'extérieur, aux lunettes de soleil, aux coups de soleil, aux bains de soleil, même aux pétasses en chaleur, aux manteaux dans le placard, aux robes d'été et aux baisers passionnés.
si une chose me pose bien problème, c'est la dernière de toutes.
dans chaque endroit où je me trouve et dans n'importe quelles conditions, je m'imagine dans les bras de quelqu'un, il me caresse, m'embrasse dans le cou, il me fait rire, me serre fort la nuit.
quand je suis à la caisse d'un magasin. quand je suis dans mon lit. quand je suis dans le brouillard du matin. quand je mange.
à chaque fois, mon coeur se soulève, mon rythme cardiaque s'accélère, une bouffé de stress, d'émotion ou d'un truc comme ça. je rêve de ça. toutes les nuits. et toutes les nuits je dors mal, parce qu'à chaque nouvelle dose de stress que je m'inflige, je me réveille, enfin si j'ai réussi à m'endormir.
je m'invente des scénarios de rencontre.
je lui rentre dedans par hasard, m'excuse, et il sourit et on se plait, il ne dit rien ou alors si, il me demande quelque chose d'incongru, s'il m'a fait mal, enfin il s'accroche un peu, .
à côté de moi, dans l'amphi. il me drague lourdement, mais avec humour.
en sortant du train, on est à quelques pas l'un de l'autre, il fait tomber sa valise, je ris évidemment, et il est indigné, ou il rougit, .
enfin enfin, toutes les histoires de films US, le genre hyper lourd, qui n'arrivent jamais.
n'empêche, je dois être vraiment repoussante, pour qu'il ne m'arrive jamais rien.
les amoureux etc.
les bourgeons etc.
les jolies fleurs etc.
je lève mon verre aux émerveillements perpétuels du printemps, à l'odeur de l'extérieur, aux lunettes de soleil, aux coups de soleil, aux bains de soleil, même aux pétasses en chaleur, aux manteaux dans le placard, aux robes d'été et aux baisers passionnés.
si une chose me pose bien problème, c'est la dernière de toutes.
dans chaque endroit où je me trouve et dans n'importe quelles conditions, je m'imagine dans les bras de quelqu'un, il me caresse, m'embrasse dans le cou, il me fait rire, me serre fort la nuit.
quand je suis à la caisse d'un magasin. quand je suis dans mon lit. quand je suis dans le brouillard du matin. quand je mange.
à chaque fois, mon coeur se soulève, mon rythme cardiaque s'accélère, une bouffé de stress, d'émotion ou d'un truc comme ça. je rêve de ça. toutes les nuits. et toutes les nuits je dors mal, parce qu'à chaque nouvelle dose de stress que je m'inflige, je me réveille, enfin si j'ai réussi à m'endormir.
je m'invente des scénarios de rencontre.
je lui rentre dedans par hasard, m'excuse, et il sourit et on se plait, il ne dit rien ou alors si, il me demande quelque chose d'incongru, s'il m'a fait mal, enfin il s'accroche un peu, .
à côté de moi, dans l'amphi. il me drague lourdement, mais avec humour.
en sortant du train, on est à quelques pas l'un de l'autre, il fait tomber sa valise, je ris évidemment, et il est indigné, ou il rougit, .
enfin enfin, toutes les histoires de films US, le genre hyper lourd, qui n'arrivent jamais.
n'empêche, je dois être vraiment repoussante, pour qu'il ne m'arrive jamais rien.
ton texte m'a fait sourire et puis un peu badé à la fois, d'autant plus que je viens de regarder l'hypra dramatique épisode 4 de la saison 4 de Skins. Bonjour tristesse.
Tu n'es pas repoussante du tout, cesse de dire n'importe quoi, non mais ow.