Claquements de doigts, un, deux. Phalanges qui s'entrechoquent. Termes médicals, non : médicaux. Le français qui se perd. Les abréviations qui envahissent. Le dégoût d'écrire, parce qu'écrire égal être en cours.
Il parait qu'on est amis avec des gens qui nous mettent en valeur. Je méprise les gens. Ca recommence. Les gens qui prétendent avoir une vie de méga ouf. Donc j'y crois, qu'on est amis "avec des gens qui nous mettent en valeur".
L'inspiration qui fuit.
Il parait qu'on est amis avec des gens qui nous mettent en valeur. Je méprise les gens. Ca recommence. Les gens qui prétendent avoir une vie de méga ouf. Donc j'y crois, qu'on est amis "avec des gens qui nous mettent en valeur".
L'inspiration qui fuit.
Un TGV passe dans la gare. En coup de vent.
Je l'entends arriver, de loin. Je vois les phares, deux cercles de lumière - jaune, puis blanche. Ils grossissent de plus en plus. Il te frôle, avec ce bruit assourdissant. Et une fois qu'il est passé, un coup de vent.
je voulais me contenter d'un "ça va" mais ça mériterait un "cékoi cette fille sans conversation?" (notre obsession)
je ne sais pas mais on retrouve partout le même type de personne, comme si nous étions condamnées à fréquenter toujours le même public. (le types geek se retrouvent partout, fou, fou, ainsi que les filles toujours parfaitement coiffée/maquillée/habillées, etc. je me demande dans quelle catégorie je me trouve.)
mais cela permet de ne pas être trop perdu lorsque l'on change de milieu.
j'ai feuilleté Star Club (oui, BON) et il y avait une interview du chanteur de Muse. enfin ils passaient déjà sur nrj, ça ne m'a donc pas meurtri plus que ça.
sinon, toi, tout va?