Hier soir, fête de la musique.
On retrouve son meilleur ami dans le bus avec sa chérie et on part tous pour Vesoul (ville des petites lumières, quand même). Quand on arrive, les boutiques de filles sont encore ouvertes alors on y va avec la chérie du meilleur ami et on papote, on papote. C'est bon de se sentir fille. Et on critique les vendeuses et les articles et on craque pour le petit-sac-délicieusement-rétro-à-pois-pastels-où-y'a-beaucoup-de-place. Ensuite, on va commander des kebabs (yummy) et on retrouve ceux qui manquent. On retourne chercher les kebabs et on s'installe pour manger. Là, deux clans se créent: le clan de ceux-qui-veulent-s'asseoir-sur-le-monument-aux-morts et ceux qui préfèrent-s'asseoir-sur-les-gros-cailloux-à-côté-nan-mais-oh-on-respecte-les-morts-nous.
Une fois sur le gros cailloux, je dévore mon kebab et gagne une fantastique haleine d'oignon-thé vert (bah oui, le chewing gum d'après) et on s'en va vers les concerts. Là, je revois l'homme qui m'a tant blessée en dedans et je meurs d'envie de pleurer. Mais non. La soirée continue et on croise du monde qu'on connaît, des punks aussi. Beaucoup. A la fin, on s'emmerde. Enfin, non, je m'emmerde. Royalement mais personne veut partir. Alors on reste et je fais chier Monsieur X. pour qu'il me prête son portable qui fait ordinateur. Le genre de mobile qu'on fait glisser sur le côté et qu'on utilise avec un stylet. Le genre de mobile où y'a Paint dessus. Le genre de mobile top fun quoi (-__-). Enfin, on rentre à 1h du matin, à pieds. Par un chemin dans le noir, avec des arbres à formes humaines.
Bilan: fatigue et quelque chose à raconter pour égayer nos folles soirées pluvieuses.
Point positif: je sais qu'un mobile comme ça, ça existe pour de vrai.
Point négatif: les pogos, ça déchire les jeans.
Badweather - un peu intimidée par autant de gens qui lisent ce qu'elle écrit sur un blog qui n'est pas le sien. Pardonnez le manque d'intérêt et la redondance, je ne sais rien faire de mieux.-
On retrouve son meilleur ami dans le bus avec sa chérie et on part tous pour Vesoul (ville des petites lumières, quand même). Quand on arrive, les boutiques de filles sont encore ouvertes alors on y va avec la chérie du meilleur ami et on papote, on papote. C'est bon de se sentir fille. Et on critique les vendeuses et les articles et on craque pour le petit-sac-délicieusement-rétro-à-pois-pastels-où-y'a-beaucoup-de-place. Ensuite, on va commander des kebabs (yummy) et on retrouve ceux qui manquent. On retourne chercher les kebabs et on s'installe pour manger. Là, deux clans se créent: le clan de ceux-qui-veulent-s'asseoir-sur-le-monument-aux-morts et ceux qui préfèrent-s'asseoir-sur-les-gros-cailloux-à-côté-nan-mais-oh-on-respecte-les-morts-nous.
Une fois sur le gros cailloux, je dévore mon kebab et gagne une fantastique haleine d'oignon-thé vert (bah oui, le chewing gum d'après) et on s'en va vers les concerts. Là, je revois l'homme qui m'a tant blessée en dedans et je meurs d'envie de pleurer. Mais non. La soirée continue et on croise du monde qu'on connaît, des punks aussi. Beaucoup. A la fin, on s'emmerde. Enfin, non, je m'emmerde. Royalement mais personne veut partir. Alors on reste et je fais chier Monsieur X. pour qu'il me prête son portable qui fait ordinateur. Le genre de mobile qu'on fait glisser sur le côté et qu'on utilise avec un stylet. Le genre de mobile où y'a Paint dessus. Le genre de mobile top fun quoi (-__-). Enfin, on rentre à 1h du matin, à pieds. Par un chemin dans le noir, avec des arbres à formes humaines.
Bilan: fatigue et quelque chose à raconter pour égayer nos folles soirées pluvieuses.
Point positif: je sais qu'un mobile comme ça, ça existe pour de vrai.
Point négatif: les pogos, ça déchire les jeans.
Badweather - un peu intimidée par autant de gens qui lisent ce qu'elle écrit sur un blog qui n'est pas le sien. Pardonnez le manque d'intérêt et la redondance, je ne sais rien faire de mieux.-
Bref, merci encore. :)