La rumeur de la ville me parvenait par à coups, chaque rafale me rappelait que tu n'étais pas si loin que ça, que tu étais juste parti pour ton travail, que tu allais revenir d'un instant à l'autre avec un sourire charmant cachant une journée exténuante. Mes cheveux séchaient contre l'oreiller et je me délectais du livre que tu venais de m'offrir le week-end dernier, comme ça, pour rien. J'appréciais la lecture d'autant plus que c'est toi qui m'avais offert l'ouvrage. Dans d'autres conditions il n'eût peut-être aucun intérêt. Je m'entortillais voluptueusement dans les draps blancs. Les bruits de l'autoroute que rappelait le vent m'empêchèrent de t'entendre t'approcher sur la pointe des pieds. Je pensais à ce livre que j'avais à peine commencé à écrire et à toi à qui j'avais donné la passion de la lecture avec mes tous premiers textes. Quand on s'était rencontrés, tu me disais que tu détestais lire, sauf mes petites phrases. C'était plutôt minable, mais j'y tenais tellement, une passion à vrai dire. J'aurais pu passer des journées à ...
Une main chaude et rassurante se pose alors sur mon omoplate droit, refoulant ainsi mes pensées jusqu'aux plus profondes. Le bonheur de l'instant présent remplissant mon esprit. Puis la main passe à l'autre omoplate, elle est froide mais rassurante, grande et protectrice. Un Joyeux anniversaire de notre rencontre !
Puis tu me pries de me retourner sur le dos et je m'exéute docilement, ravie, et je vois ton sourire de tombeur qui me fait tant chavirer. Pas besoin de plus pour que je me redresse et t'attrape par les cou pour t'embrasser langoureusement. Ensuite, je plante mes yeux dans les tiens et commence à déboutonner la chemise que je t'ai offerte en retard pour ton anniversaire. Sans m'arrêter au bout de tissu je déboutonne le pantalon et ouvre la braguette. Bien sur, tu avais pris soin d'ôter tes chaussures avant d'entrer dans la chambre - pour éviter de casser la surprise. J'enlève donc les chaussettes et tu m'attrapes les mains.
Tu tires d'un coup sec le drap et découvre que tout reste à faire : jean tee-shirt et gilet sont encore sur mon dos. J'avais froid lui dis-je en souriant devant son air impatient d'enfant qui ouvre son cadeau et découvre d'autres emballages. Une fois en sous-vêtements - au moins dix minutes plus tard -, tu caresses mon épaule et arrive à ma nuque, visant, je le sais bien, l'agraffe que tu sais si bien décrocher, même si tu avais du mal, au début. Tu te rapproches et unis les deux mains pour l'épreuve tant appréciée. Tu déloges un part un les crochets de mon soutien gorge, et enlève finalement le tout. Et puis tout s'enchaine.
Mon moment préféré est peut-être quand je passe la main dans tes cheveux brun foncé et quand je sens la chaleur de ton corps nu contre le mien. J'aime qu'on se retrouve nez à nez et me sentir protégée de la tempête extérieure. J'attrape alors ta main et la pose au dessus de mon sein gauche, tu sens mon coeur battre doucement. J'aime ton ventre contre mon dos et nos corps qui fusionnent presque. J'aime tes doigts entre les miens, avec ton pouce qui caresse ce qu'il peut atteindre. Et puis j'aime te regarder dormir et sentir ton souffle régulier dans mes cheveux épanouis. Tes paupières sont closes, et ton étreinte ne lache pas.
Tu sais je t'aime.
Titre : Mickey 3D - Les lumières dans la plaine
Une main chaude et rassurante se pose alors sur mon omoplate droit, refoulant ainsi mes pensées jusqu'aux plus profondes. Le bonheur de l'instant présent remplissant mon esprit. Puis la main passe à l'autre omoplate, elle est froide mais rassurante, grande et protectrice. Un Joyeux anniversaire de notre rencontre !
Puis tu me pries de me retourner sur le dos et je m'exéute docilement, ravie, et je vois ton sourire de tombeur qui me fait tant chavirer. Pas besoin de plus pour que je me redresse et t'attrape par les cou pour t'embrasser langoureusement. Ensuite, je plante mes yeux dans les tiens et commence à déboutonner la chemise que je t'ai offerte en retard pour ton anniversaire. Sans m'arrêter au bout de tissu je déboutonne le pantalon et ouvre la braguette. Bien sur, tu avais pris soin d'ôter tes chaussures avant d'entrer dans la chambre - pour éviter de casser la surprise. J'enlève donc les chaussettes et tu m'attrapes les mains.
Tu tires d'un coup sec le drap et découvre que tout reste à faire : jean tee-shirt et gilet sont encore sur mon dos. J'avais froid lui dis-je en souriant devant son air impatient d'enfant qui ouvre son cadeau et découvre d'autres emballages. Une fois en sous-vêtements - au moins dix minutes plus tard -, tu caresses mon épaule et arrive à ma nuque, visant, je le sais bien, l'agraffe que tu sais si bien décrocher, même si tu avais du mal, au début. Tu te rapproches et unis les deux mains pour l'épreuve tant appréciée. Tu déloges un part un les crochets de mon soutien gorge, et enlève finalement le tout. Et puis tout s'enchaine.
Mon moment préféré est peut-être quand je passe la main dans tes cheveux brun foncé et quand je sens la chaleur de ton corps nu contre le mien. J'aime qu'on se retrouve nez à nez et me sentir protégée de la tempête extérieure. J'attrape alors ta main et la pose au dessus de mon sein gauche, tu sens mon coeur battre doucement. J'aime ton ventre contre mon dos et nos corps qui fusionnent presque. J'aime tes doigts entre les miens, avec ton pouce qui caresse ce qu'il peut atteindre. Et puis j'aime te regarder dormir et sentir ton souffle régulier dans mes cheveux épanouis. Tes paupières sont closes, et ton étreinte ne lache pas.
Tu sais je t'aime.
Titre : Mickey 3D - Les lumières dans la plaine
Tu sais c'est drôle moi aussi j'ai écrit un truc du genre, oui et même que la photo de mon dernier article eh ben c'était ça, avec en exclusivité en bas à gauche un bout de mon pyjama rose à fleurs d'été. Je me souviens, j'écoutais Jon Brion, la chanson de mon menu. Ca allait bien ensemble je crois, l'amour et la musique.
Malheureusement le texte n'a pas abouti car je me suis endormie dessus. Nan mais il faut me comprendre il était une heure du matin et le lendemain il y avait école. Ce qui explique le pyjama qui s'invite sur la photo, d'ailleurs.
En tout cas la dernière phrase que mon stylo a tracé avant que je ne tombe subitement dans les bras de Morphée, c'était :
"Tu sais, mon amour, je t'aime."
Eh ouais.
(L)