samedi c'est la fête à la grenouille. Aïda décida d'enfiler sa robe moulante noire. et moi la verte courte. ses jambes sont nues. les miennes collantées. elle porte des chaussures à talons. moi des bottes. ça fait assez madame et junky qui se retrouvent autour d'une tasse de café. j'aime pas le café. mais on se donne un genre de genre. un genre pas de genre. un genre va te faire foutre gros pervers.
des amis passent sans nous reconnaitre. pour une fois c'est voulu
des amis passent sans nous reconnaitre. pour une fois c'est voulu
Tu sais c'est normal que tu n'aies pas encore ce sentiment par rapport à "chez toi". Je crois que ça vient quand on quitte tout ça pr aller faire ses études. Quand on commence à vivre dans deux endroits à la fois. J'avais déjà cette sensation avec la pension mais en moins forte car j'avais moins d'indépendance.
Et puis les amis...Tu dois faire partie des gens qui attendent trop des autres et des relations. Mais j'ai du mal à imaginer des gens qui n'attendent rien des autres et s'en foutent de leurs relations. J'imagine forcément une salope (sori :)) ou un gros geek. Et encore, la salope a besoin du regard des autres pour vivre et le geek déprime à cause de sa solitude. Au fond on a toujours besoin des autres alors à force de déceptions j'en viens à me dire que c'est normal d'être déçue. Que c'est fait pr avancer. A chaque étape de notre vie nos amis sont différents (sauf cas exceptionnels de certains qui restent lgtps...) A l'école maternelle. A l'école primaire. Au collège. Au lycée. Et puis les avenirs se séparent. A la fac. Après quand chacun aura un travail. Puis les enfants qui nous font devenir amis avec les parents de leurs amis, les maris, les amis des maris. Oé je me projette loin. Mais quand même. Les amis, ça va, ça vient.
Je parle trop :)
je croise les doigts pr toi demain!
Je t'embrasse.