Je m'empressais de tout écrire bleu sur blanc, pour bien montrer que le monde réel n'était qu'un fantaisiste essai très brouillonné de tout ce qui se passait dans ma tête.
Elle avait des mots sur le corps, des mots sur le coeur, au coin des lèvres, ils ne sortaient jamais. Elle ne faisait que pleurer en silence, réprimant quelques gémissements, laissant s'écraser les gouttes de larmes sur toutes les pages qu'elle noircissait. Elle pleurait son absence de charme, qu'elle croyait bien présente. Ce n'étaient jamais les personne qu'elle voulait qui louaient sa beauté.
Il était complètement inexpressif, ses mots à lui sortaient à tord et à travers. Vers son avenir incertain. Il se demandait ce qu'il ferait sans la présence de cervelle dans sa boîte cranienne. Il réfléchissait sur sa personnalité cachée, il n'était qu'un stéréotype, un joli garçon, beau parleur.
Elle était à l'âme ce qu'il était au corps. Son intelligence à elle n'avait d'égal que sa beauté à lui. Les deux tentaient pour la première fois le jeu du Je fais les mains, et toi la tête. Il se rencontrèrent sur un malentendu, l'une jasant sur son intelligence factice, l'autre se moquant de sa tête accidentée.
Aux bras l'un de l'autre, l'une semblait plus belle, l'autre bien moins con. C'était l'alliance parfaite. La cohésion et la complémentarité de l'amour.
Elle avait des mots sur le corps, des mots sur le coeur, au coin des lèvres, ils ne sortaient jamais. Elle ne faisait que pleurer en silence, réprimant quelques gémissements, laissant s'écraser les gouttes de larmes sur toutes les pages qu'elle noircissait. Elle pleurait son absence de charme, qu'elle croyait bien présente. Ce n'étaient jamais les personne qu'elle voulait qui louaient sa beauté.
Il était complètement inexpressif, ses mots à lui sortaient à tord et à travers. Vers son avenir incertain. Il se demandait ce qu'il ferait sans la présence de cervelle dans sa boîte cranienne. Il réfléchissait sur sa personnalité cachée, il n'était qu'un stéréotype, un joli garçon, beau parleur.
Elle était à l'âme ce qu'il était au corps. Son intelligence à elle n'avait d'égal que sa beauté à lui. Les deux tentaient pour la première fois le jeu du Je fais les mains, et toi la tête. Il se rencontrèrent sur un malentendu, l'une jasant sur son intelligence factice, l'autre se moquant de sa tête accidentée.
Aux bras l'un de l'autre, l'une semblait plus belle, l'autre bien moins con. C'était l'alliance parfaite. La cohésion et la complémentarité de l'amour.
Belle rencontre . Ne pas sous-estimer son apparence, un sourire fait souvent la différence, surtout un sourire intelligent, plutôt que le sourire de l'assurance qui n'est qu'un automatisme chez les gens qui sont beaux de façon trop évidente.
On a tendance à être déçu par quelqu'un de beau et creux, alors qu'on est souvent (agréablement) surpris par un esprit qui surpasse l'apparence.
Mais de toute évidence je parle trop, puisque la rencontre évoquée semble avoir aboutie à un parfait équilibre. - chut -